mercredi 1 décembre 2010

Non à la dette-racket,7 décembre, Libérons la monnaie des intérêts

TRACT A DIFFUSER POUR LE 7 DECEMBRE 2010


Non à la dette-racket……7 décembre….. Appel international ……
Libérons la monnaie des intérêts


Opération Monnaie-Vérité
Dans 20 pays, retirons de l’argent de nos comptes bancaires :
démontrons qu’il n’y a que 5% de billets et de pièces…pour 95% d’argent électronique gratuit !


Quand les émissions de billets dépendaient des réserves d’or,
les prêts bancaires étaient payants
Aujourd’hui, les prêts bancaires ne dépendent plus de l’or, les intérêts sont du vol



A 18 h, tous les 7 du mois, rassemblons-nous sur les places publiques.
A Nantes, à 18 h, place Royale, mardi 7 décembre,


Les banques n’auraient plus assez d’argent… Faute de crédits, des régions entières sombrent dans la misère. Grèce, Portugal, Espagne, Irlande, France...le chômage explose. Ecoles, hôpitaux, transports…les services publics sont démantelés.
Et pourtant, en 1945, une France, en ruine, s'équipa de services publics uniques au monde. S’inspirant du Conseil National de la Résistance, le gouvernement du général de Gaulle ordonna à la Banque de France d’accorder à l’Etat des prêts à taux zéro. A l’intérêt privé des banques, on préféra l’intérêt général. Le gouvernement contrôlait les taux pour les entreprises et les particuliers.
Au cours des siècles, avec le développement du commerce, l’or, devenu trop rare, ne pouvait plus garantir le papier-monnaie. En 1914, de nombreux états abandonnèrent l’étalon-or. La production de monnaie était devenue quasiment gratuite (papier et pièces en métal vulgaire). Malgré cela, les banques continuèrent à prendre des intérêts comme du temps de la garantie-or...

Pendant 28 ans, de 1945 à 1973, la France ne connut ni déficit, ni dette publique !!! Mais la loi Giscard du 3 janvier 1973 obligea l'Etat à emprunter auprès des banques privées…en payant des intérêts ! Depuis cette date, déficits publics et « dette-racket » ne cessent de grossir. Une trentaine d’années après, Giscard d’Estaing intégrait cette loi dans le Traité constitutionnel européen...

Depuis l’abandon de la parité-or, une banque ne peut plus manquer de cet argent, si facile à créer sur ordinateur. Pas de vraie crise monétaire, mais un asservissement de l’économie aux profits bancaires. Quand les entreprises ne peuvent pas vendre une partie de leurs productions pour payer les profits bancaires, les banques coupent les crédits. Des produits de première nécessité ne sont plus fabriqués, car non rentables. Résultats : faillite et chômage en Europe, émeutes de la faim en Afrique.
Les banquiers osent encore appeler « loyer de l’argent » : les intérêts. Des intérêts qui datent de l’époque où les clients payaient un loyer pour le coffre qui contenait l’or correspondant aux billets prêtés. Aujourd’hui, plus d’or, plus de coffre mais toujours des intérêts…
Des intérêts qui augmentent, en moyenne, de 33 % les prix à la consommation !!! Qu’importe les vies brisées au nom d'intérêts privés.


Egalité de tous devant l'emprunt.
Exigeons une loi pour une banque de service public, avec prêts à taux zéro
(Pour les états, les entreprises et les particuliers)


Pendant 28 ans, la France de la Résistance a imposé sa loi aux banquiers, ce pays a construit des services publics uniques au monde. Entrons en résistance mardi 7 décembre, retirons de l'argent de nos comptes bancaires (chacun selon ses moyens). Pour faire éclater la vérité, plaçons les banques dans l’impossibilité de fournir la quantité de billets demandée.
Le système bancaire ne court aucun risque, ces billets ne sont que papier !
Répétons l'opération autant de fois qu'il le faudra jusqu'au vote de la loi. Nous sommes des milliards, ils sont une poignée. Les profits bancaires sont la cause première de la misère du monde. La vérité sur la monnaie, un espoir pour l’humanité.
Eric Cantona sera le bienvenu place Royale, à Nantes, la ville de son appel dans Presse-Océan

Alain Vidal, Libérons La Monnaie, Nantes-le Pellerin (01/12/10)


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques



dimanche 28 novembre 2010

Loi pour le contrôle public des banques







Une loi doit garantir le contrôle public des banques


pour une monnaie sans intérêts


 créée en fonction des seules quantités de productions



A l’origine de la crise mondiale,

 une formidable contradiction


D’un côté, un développement technologique qui libère l’homme

 en supprimant massivement le travail de production des biens matériels.

On produit de plus en plus de richesses avec de moins en moins de travail humain.

De l’autre côté, les banquiers privés qui refusent les crédits 

pour des productions de marchandises générant insuffisamment de profit 

car nécessitant  peu de travail.


Pour une monnaie alignée sur le progrès technologique

Pour une monnaie alignée  sur des quantités de productions,

et non sur le temps de travail des hommes.


Alors que les machines produisent en moyenne 95% des marchandises, 

le pouvoir d’achat (pouvoir d’accéder aux biens nécessaires)

 reste aligné sur le travail des hommes :

des richesses sont détruites car non vendues…

"Endettés", plus exactement rackettés,

 les Etats réduisent les services publics, 

les entreprises font faillite.


L’argent est créé gratuitement :

95 % monnaie électronique pour 5% de billets et de pièces

Si on ne met pas de timbre sur un courrier électronique, 

pourquoi payer des intérêts sur la monnaie électronique ?


Banquiers et autres actionnaires font leurs profits sur le temps de travail des salariés. 


Le remplacement des hommes par les machines 

 a permis le développement des services.

Mais cette réduction du temps de travail réduit les profits des actionnaires.

Par le monopole de la création monétaire,

les banques interdisent des productions non rentables

 et cependant utiles aux populations.

Les actionnaires créent artificiellement la misère dans l’abondance:

 quotas limitant les productions 
et destructions massives des marchandises invendues…

Cet état de nécessité crée le chômage

 ou nous force à travailler dans des conditions  précaires… 

  
Avec une monnaie créée en fonction des seules quantités de productions

respectant l’environnement et les êtres humains:

le temps de travail de chacun sera considérablement réduit.
Nous deviendrons des producteurs  librement associés, 

le temps libérés par les machines sera déversé dans les services et les loisirs.

Tous les services seront d'intérêt général. 

Les productions de biens matériels ainsi que le secteur des services

 ne seront plus régis par la course au profit

mais par le droit à la vie dans la beauté et la dignité.


Mais où trouver l’argent ?

 Tout simplement, là où les banquiers le créent déjà…dans les banques !!!


Les banquiers continueront de  créer la monnaie sur ordinateur,

 mais elle sera sans intérêts.

Au siècle dernier, le monde entier a abandonné la parité-or 

 La création de monnaie informatisée est quasiment gratuite…

L'argent ? Des chiffres et des lettres sur disques durs. 

Il est normal que les caisses soient vides avec la révolution informatique!


Quatre mesures s’imposent

 pour traiter la crise mondiale à la racine.


1-Interdiction des quotas et des destructions

concernant les productions utiles aux populations.


2-Que le temps libéré par les machines dans la production de biens matériels,

soit systématiquement déversé

dans les services, tous d’intérêt général.


3- Un revenu d’existence égal pour tous, dissocié de la recherche du profit.

Ce revenu sera alimenté par une  monnaie alignée

 sur les quantités de productions de biens de consommation.


4- Libre accès aux inventions et procédés

qui appartiennent au patrimoine de l’humanité,

un héritage de savoirs et de savoir-faire dont nous sommes tous les héritiers.


Libérons La Monnaie,
 Nantes-Le Pellerin 



Lire les propositions de Libérons La Monnaie

 loi pour le contrôle des banques