Même Benjamin Franklin, même Abraham Lincoln l’ont dit...
Les banquiers sont nos pires ennemis
Tous ont dénoncé l’imposture
des intérêts, le vol des richesses commis par les banques privées.
Les intérêts bancaires sont
la première cause d’exclusion, de chômage, de guerre, de misère, de malnutrition, de
maladies, de famine... dans le monde.
« Dans les colonies,
nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l’appelons Colo Script, et nous
en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des
producteurs aux consommateurs. Créant ainsi notre propre papier-monnaie, nous
contrôlons notre pouvoir d’achat et nous n’avons aucun intérêt à payer à
personne. » (Benjamin Franklin 1750).
Les banquiers anglais, mis au
courant, firent adopter par le Parlement anglais une loi défendant aux colonies
de se servir de leur monnaie script et leur ordonnant de se servir uniquement
de la monnaie-dette d’or et d’argent des banquiers qui était fournie en
quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva
ainsi diminuée de moitié.
« En un an, dit
Franklin, les conditions changèrent tellement que l’ère de prospérité se
termina, et une dépression s’installa, à tel point que les rues des colonies
étaient remplies de chômeurs. »
Alors advint la guerre contre
l’Angleterre et la déclaration d’indépendance des États-Unis, en 1776.
Les manuels d’histoire
enseignent faussement que la Révolution Américaine était due à la taxe sur le
thé. Franklin déclara : « Les colonies auraient volontiers supporté
l’insignifiante taxe sur le thé et autres articles, sans la pauvreté causée par
la mauvaise influence des banquiers anglais sur le Parlement : ce qui a
créé dans les colonies la haine de l’Angleterre et causé la guerre de la
Révolution. »
Les Pères Fondateurs des
États-Unis, ayant tous ces faits en mémoire, et pour se protéger de
l’exploitation des banquiers internationaux, prirent bien soin de stipuler
clairement dans la Constitution américaine, signée à Philadelphie en 1787, dans
l’article 1, section 8, paragraphe 5 : « C’est au Congrès
qu’appartiendra le droit de frapper l’argent et d’en régler la valeur. »
Abraham Lincoln , Président
des États-Unis étant à court d’argent pour financer les armées du Nord, partit
voir les banquiers de New-York, qui lui offrirent de l’argent à des taux allant
de 24 à 36 %. Lincoln refusa, sachant parfaitement que c’était de l’usure
et que cela mènerait les États-Unis à la ruine. Son ami de Chicago, le Colonel
Dick Taylor, vint à la rescousse et lui suggéra la solution : « Que
le Congrès passe une loi autorisant l’émission de billets du Trésor ayant plein
cours légal, payez vos soldats avec ces billets, allez de l’avant et gagnez
votre guerre. »
C’est ce que Lincoln fit, et
il gagna la guerre : de 1862 à 1863, Lincoln fit émettre 450 millions $ de
« greenbacks ».
Lincoln appela ces greenbacks
« la plus grande bénédiction que le peuple américain ait jamais
eue. » Bénédiction pour tous, sauf pour les banquiers, puisque cela
mettait fin à leur « racket » du vol du crédit de la nation et de
création d’argent avec intérêt. Ils mirent donc tout en oeuvre pour saboter
l’oeuvre de Lincoln. Lord Goschen, porte-parole des Financiers, écrivit dans le
London Times :
« Si cette malveillante
politique financière provenant de la République nord-américaine devait
s’installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans
frais. Il s’acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout
l’argent nécessaire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau
sans précédent dans toute l’histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit
être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe. » (La monarchie
des contrôleurs du crédit.)
Lincoln déclara tout de
même : « J’ai deux grands ennemis : l’armée du Sud en face et
les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires
ennemis. »
Lincoln fut réélu Président
en 1864 et fit clairement savoir qu’il s’attaquerait au pouvoir des banquiers
une fois la guerre terminée. La guerre se termina le 9 avril 1865, mais Lincoln
fut assassiné cinq jours plus tard, le 14 avril.
Article paru sur le blog d'Alain Vidal: alain vidal blogspot
Documentation extraite de
« Vers Demain »
http://www.michaeljournal.org/accue...
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