Vous vous rappelez les films sur l’Italie de l’après-guerre ? La faim, la misère, les gosses vendus ou condamnés à voler ? Aujourd’hui, - bien aujourd’hui !- des centaines d’enfants doivent à nouveau quitter l’école. L’Italie
est en crise. Dans la majorité des maisons décaties des quartiers
populaires, la miche de seigle a refait son apparition. Du pain noir,
mauvais, pas cher et qui se conserve longtemps. Là-bas, on l’appelle le
"pain de huit jours". Des foyers tenus par des parents au chômage, sans
d’argent pour nourrir la famille et encore moins pour payer les livres
scolaires.
Alors les gosses travaillent, au noir évidemment, et comme des adultes. 10 à 12 heures par jour, six jours sur sept, pour 50 euros la semaine.
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