jeudi 17 mai 2012

Moscovici :la dette publique est un ennemi pour la France

 
-17 mai 2012  11h00

    Le nouveau ministre de l'Economie a affirmé que "la dette publique est un ennemi" pour la France et a souligné que le gouvernement devrait "réduire les déficits". 
  
 Pour Moscovici, "la dette publique est un ennemi" pour la France.
Le nouveau ministre de l'Economie Pierre Moscovici a affirmé que "la dette publique est un ennemi" pour la France et a souligné que le gouvernement devrait "réduire les déficits", lors de la passation de pouvoirs avec la ministre du Budget sortante Valérie Pécresse.
   "Ce nouveau gouvernement a aussi pour tâche de mettre en oeuvre le changement" voulu par le président François Hollande, a cependant ajouté Pierre Moscovici.

 C'est faux...
    Une dette qui n'en est pas une, ne peut être un ennemi.
   C'est le racket bancaire qui est l'ennemi.
  SI l'argent, gratuit à sa création n'était pas taxé impunément par les banquiers, la soi-disant dette serait inexistante.

    Non, la dette publique n'est pas un ennemi pour la France, ce sont les banquiers les ennemis de la France.
  En pratiquant des taux d'intérêts illégitimes qui provoquent non pas ce qui, improprement parlé, est appelée  une dette, mais en réalité un immense racket.

   François Hollande s'est engagé à être le président de l'intérêt général. Il sait que  les banquiers privés, par les taux d'intérêts, détruisent les services publics, détruisent l'intérêt général. 
Que le président choisisse, 
président de tous les banquiers 
ou 
président de tous les Français. 
   L'intérêt supérieur de groupes privés, ou l'intérêt général bien compris de tout un peuple
   Le gouvernement doit prendre toutes les mesures nécessaires pour faire respecter l'intérêt général, la première de toutes, interdire la pratique des taux d'intérêts un privilèges accordé par les rois sous l'Ancien Régime.
   A l'époque, déjà, les banquiers étaient l'ennemi du peuple, en 1789, la dette publique provoquée par les taux d'intérêts étaient de 85% du PIB. 
  L'Etat, le clergé, les seigneurs, les bourgeois propriétaires de manufactures, étaient endettés par les banquiers. Mais ni l'Etat, ni le clergé, ni les seigneurs, ni les bourgeois ne payaient eux-mêmes ces dettes aux banquiers.
    L'Etat, le clergé et les nobles remboursaient les banques par les impôts et les taxes prélevés sur les revenus des paysans.
   Les bourgeois répercutaient leurs dettes dans les prix à la consommation. Ce sont les consommateurs qui payaient ainsi de manière détournée les dettes bancaires accumulées par la bourgeoisie industrielle et marchande.
   Dans tous les cas, c'était le petit peuple producteur, souvent affamé, qui payait, d'une manière comme d'une autre, les dettes bancaires des grands prédateurs.
   Aujourd'hui, c'est toujours le même mécanisme qui est à l’œuvre. Les actionnaires-prédateurs, empruntent et font payer leurs dettes par les consommateurs, résultat, tout ce temps perdu à payer l'amende aux banquier-racketteurs, c'est autant de temps en moins pour faire fonctionner les services publics...

A propos de la dette des entreprises payée par les consommateurs lire l'article:



Lire les propositions de Libérons La Monnaie

 loi pour le contrôle des banques

 

1 commentaire:

  1. Laissons-les respirer un peu. Ils ont
    demandé un audit officiel de la dette
    pour voir à quoi ça ressemblait.Quand
    ils l'auront entre les mains,ils vont
    comprendre, j'espère, où alors, il faudra faire une révolution pacifique
    et non violente. SUPER .

    RépondreSupprimer