vendredi 1 mars 2013

Un ancien résistant à François Hollande

Un ancien résistant à François Hollande

Ernest Barreau (de face, au premier plan avec un  fusil)
dans le maquis du Pellerin,  près de Nantes
Ernest Barreau (au centre)  pour ses 90 ans,
avec des membres de  Libérons  La Monnaie


 Ernest Barreau,  ancien résistant
 militant du Collectif  Libérons la Monnaie 
   
                                                                        à  François Hollande,
                                                                        président de la République
     
    Elu sous l'étiquette du socialisme, l'actualité prouve (une fois de plus ), que socialisme et capitalisme ne peuvent faire bon ménage : le premier est sacrifié sur l'autel financier du second !
     A l'ère de la révolution technologique, tous les paramètres se trouvent réunis pour passer du capitalisme au socialisme authentique que je nommerai « distributisme ».
     Etant donné les contradictions insurmontables du système économique, susdit, depuis longtemps périmé, auquel vous essayez d'atténuer ses effets pervers et dangereux, permettez-moi, Monsieur le Président, au modeste citoyen de la « France d'en bas » qui vous écrit ( ancien résistant ), de formuler les réflexions suivantes :
      N'oubliant pas qu'à travers votre mandat, il vous faut faire face à maintes situations, nombreux problèmes, etc …, tâche ardue n'étant pas de tout repos ! Sans sinistrose, objectivement avant de poursuivre une analyse, permettez moi de vous rappeler qu'il y a un an, au meeting du Bourget, en tant que candidat, vous affirmiez:
  « mon véritable adversaire, n'a pas de nom, pas de visage, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera pas élu et pourtant il gouverne . Cet adversaire c'est le monde de la finance ! » Ce constat indiscutable a aidé votre élection .
       Mais l'adversaire en question ( vous avez parfaitement raison ), la main invisible des marchés, non seulement gouverne, mais se radicalise en marchandisant biens et produits à son seul profit, le vivant y compris .
      Conclusion : la finance impose son diktat mortifère par politique interposée, d'où la question suivante: comment changer la situation ? Cet adversaire, colosse au pied d'argile, peut être vaincu par une force et un courage politique conséquents . Ne pas oublier que le peuple détient une force considérable : la multitude ! 
    Que cette force ne peut être opérationnelle qu'avec une cohésion sans faille, sans parti pris, capable d'atteindre l'objectif en question : la libération économique des peuples !
      Il importe à l'Etat, d'autant plus à un gouvernement se référant de socialisme, de reprendre la maîtrise de la création monétaire (ancien droit régalien) en fonction d'une production socialement utile, allant satisfaire les besoins indispensables exprimés par tout un chacun !
    Supprimant l'échange, non spéculative, non thésaurisable, etc …, la monnaie n'a qu'un rôle à remplir : celui de comptabilisation ! Sans cette maîtrise de création monétaire axée sur la justice sociale, les choses iront à vau-l'eau, avec conséquences prévisibles, donc évitables .
     Sous l'angle du profit financier (dont la rapacité est exponentielle) croissance, compétitivité, concurrence, emplois (inutiles ou nuisibles) sont des leurres : la Terre n'est pas extensible ! Liée à l'écosystème, la vie est fragile.
   A l'humanité de choisir : la bourse ou la vie !
        Avec l'espoir que vous portiez votre attention sur la teneur de mes propos, veuillez agréer, Monsieur le Président, l'expression de mes sentiments humanistes et républicains…

2 commentaires:

Unknown a dit…

Si M. le résistant se battait alors au nom du communisme il ne saurait en toute honnêteté être qualifié de "resistant".

Il se battait pour la prise du pouvoir en France par les communistes...on à vu le résultat à la LIbération et on en paie encore le prix à ce jour..

Cdlt

Anonyme a dit…

icyvigh1552Si vous aviez la moindre connaissance de l'histoire de France, monsieur John Stark, vous montreriez beaucoup plus de respect envers les véritables résistants qui ont donné leur vie pour la libération de leur pays. Nombre de ceux-ci étaient communistes et se battaient cependant pour l'ensemble de leurs concitoyens, sans distinction politique, sociale ou confessionnelle, jusqu'à participer résolument, avec d'autres résistants de sensibilité idéologique différente, à l'élaboration et l'application des grandes lois sociales qui font encore la fierté de la France, au regard de l'indigence des systèmes de protection proposés par la plupart des pays occidentaux dits riches.
Plutôt que d'émettre des critiques injurieuses sans fondement ni analyse, je vous invite à balayer devant votre porte capitaliste qui vacille sur ses gonds après avoir impunément, depuis deux siècles,tenus en esclavage et détruits prématurément des milliards d'êtres humains.
Marc Groussain