mercredi 28 mars 2012

Pas question de laisser le progrès technologique accompagner la grande libération de l'homme par la machine.

Pas question de laisser le progrès technologique accompagner la grande libération de l'homme par la machine.

Pas question de passer à une monnaie alignée sur des quantités de production matérielles.
Pas question que le temps libéré par les machines informatisées ou non, soit systématiquement déversé dans le secteur des services, c'est à dire dans le secteur des activités immatérielles.
Ce serait une catastrophe pour la poignée d'addicts au luxe.
Comment, sans armées de salariés, prélever ces taxes avec lesquelles une infime minorité s'achète des produits de grand luxe.


 La guerre des riches pour la conquête des marchés fait rage. D'autant que ces marchés se rétrécissent sous l'effet d'une concurrence qui exige de vendre moins cher pour attirer le client.
Mais vendre moins cher, c'est produire avec moins  de salaire.
Moins de salaire, moins de pouvoir d'acheter.
Pour accroître le nombre  de producteurs-consommateurs fournissant un profit maximum, les riches donnent l'ordre aux politiques de détruire les services publics.
Les chômeurs n'ont plus, comme en France, pendant les Trente Glorieuses (1945-1973), la possibilité de s'embaucher à vie au service de l'Etat, à l'abri des prédateurs grands consommateurs de chairs à profits.
On en est réduit à accepter n'importe quel travail, non seulement les adultes, mais aussi les enfants, comme en Italie, en Grèce, au Portugal et ailleurs...
Voir l'article:
 Quand Naples tue ses enfants


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques


Quand Naples tue ses enfants


2 Naples .jpg
Vous vous rappelez les films sur l’Italie de l’après-guerre ? La faim, la misère, les gosses vendus ou condamnés à voler ? Aujourd’hui, - bien aujourd’hui !- des centaines d’enfants doivent à nouveau quitter l’école. L’Italie est en crise. Dans la majorité des maisons décaties des quartiers populaires, la miche de seigle a refait son apparition. Du pain noir, mauvais, pas cher et qui se conserve longtemps. Là-bas, on l’appelle le "pain de huit jours". Des foyers tenus par des parents au chômage, sans d’argent pour nourrir la famille et encore moins pour payer les livres scolaires.

3 naples.jpg

Alors les gosses travaillent, au noir évidemment, et comme des adultes. 10 à 12 heures par jour, six jours sur sept, pour 50 euros la semaine.
Suite de l'article dans:
 Quand Naples tue ses enfants


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques


mardi 13 mars 2012

Comment le capitalisme a créé la Mafia



La Mafia a été montrée sous un jour romantique par la littérature et le cinéma, mais son pouvoir en Sicile et en Italie a toujours vu se dresser contre lui des mouvements à la base, d'après Tom Behan.

La Mafia sicilienne et sa cousine américaine ne sont pas des Robins des Bois qui volent les riches pour donner aux pauvres. Leur but est l'enrichissement personnel. La Mafia était et demeure une bande d'assassins égoïstes et ultra-violents.
La Mafia a émergé en Sicile avec le capitalisme. L'Italie n'a réalisé son unité nationale qu'en 1861. Les divers Etats qui coexistaient auparavant dans la péninsule italienne étaient très faibles et n'avaient aucun intérêt pour des contrées éloignées comme la Sicile.
La féodalité n'avait pris fin dans l'île qu'en 1812. Sous le système féodal, les propriétaires fonciers disposaient, pour gérer leurs domaines, de leurs propres armées qui faisaient régner leur loi. La vie des paysans était très dure.
Les propriétaires n'avaient pas un grand intérêt pour leurs domaines autrement que comme source de revenus. Ils n'y vivaient pas et les visitaient rarement, résidant plutôt à Naples ou à Palerme, la capitale de la Sicile.
Les sbires des propriétaires imposaient le paiement des fermages. C'est parmi ces gens que la Mafia a commencé à apparaître. Elle commença à extorquer de l'argent, acheter des terres et devint capitaliste à une échelle modeste, s'insérant dans les Etats locaux.
Même après l'unification, l'Etat italien nouveau était faible et s'appuyait sur des hommes forts régionaux. Cette période a été brillamment illustrée en 1963 par le film Le guépard, de Luchino Visconti, basé sur un roman de Giuseppe di Lampedusa.
La Mafia agissait comme un tampon pour la classe dirigeante, ce qui lui permettait de régner dans une situation de grande pauvreté, où les gens étaient prêts à tout pour améliorer, même d'une façon minime, leurs misérables existences.
Au lieu de formuler des revendications auprès du système politique, ils allaient voir le patron local de la Mafia pour obtenir un emploi, une augmentation de salaire, ou même des meubles.
La Mafia était vue comme la force la plus immédiate qui avait le pouvoir d'aider les gens. Pour les puissants qui soutenaient la Mafia, c'était très agréable que les gens ordinaires s'abstiennent de lutter contre le système.
Lorsque la classe ouvrière se mit réellement à lutter, la Mafia connut une crise grave - le meilleur exemple étant le mouvement des Fasci Siciliani de 1892-95. C'était un mouvement populaire, qui créa des organisations démocratiques. Ils furent finalement brisés par l'Etat.
Mais ils étaient si puissants que la Mafia n'osa pas les attaquer de front. En fait, beaucoup de mafiosi de base rejoignirent le mouvement, abandonnant leurs gangs.
Au début du 20ème siècle, des centaines de milliers de pauvres émigrèrent du sud de l'Italie aux Etats-Unis, où le capitalisme se développait rapidement sans excès de régulation.
Jusqu'à un certain point ils reproduirent le système qu'ils avaient laissé derrière eux en Sicile. Il y avait toujours une déférence pour les gens 'haut placés' et la peur des gens à la gâchette facile. Les émigrés italiens subissaient racisme et exclusion.

 Le capitalisme

  Les autorités américaines n'étaient pas mécontentes de permettre au crime organisé d'opérer pour son compte en faisant régner l'ordre dans la communauté immigrée.
D'autre part, il y avait aussi, dans les années précédant la Première Guerre mondiale, une implication massive des travailleurs italiens dans les grandes luttes ouvrières et dans le syndicat très actif Industrial Workers of the World (IWW).
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, l'armée US a utilisé la Mafia lors de son invasion de la Sicile en 1943. Les Américains et les Anglais voulaient remplacer le régime fasciste de Benito Mussolini en Italie. Il y avait une résistance démocratique au fascisme, mais elle venait de la gauche et les Américains et les Anglais s'y opposèrent.
Ils voyaient qu'il y avait une autre structure, qui n'était ni démocratique ni de gauche, et avec laquelle ils avaient des contacts - la Mafia. Des agents américains ont admis avoir rencontré le patron de la Mafia Don Calogero Vizzini - qui fut fait maire de sa ville par l'armée américaine.
Charles Poletti, dirigeant de l'administration alliée de l'île, était très conscient de ce qu'étaient ses interlocuteurs. Son interprète, Vito Genovese, était un mafioso qui avait été expulsé de New York avant la guerre.
Il avait fait de grasses donations aux fascistes de Mussolini et avait donné des réceptions aux dirigeants nazis dans son château en Italie. Mais il fut prompt à changer de camp lorsque l'invasion commença.
Genovese fit même cadeau à Poletti d'une berline Packard. Il fut arrêté en 1944 pour avoir organisé dans le port de Naples d'énormes détournements de carburant et de nourriture destinés à la population et qui se retrouvaient sur le marché noir.
La Mafia en Sicile et la Camorra à Naples ressuscitèrent pendant l'occupation alliée. Elles fournissaient le maintien de l'ordre face à des forces de gauche en progrès.
Les premières élections régionales d'après guerre se tinrent en Sicile en avril 1947. L'alliance communiste-socialiste, qui promettait la réforme agraire, remporta 29 sièges au parlement sicilien contre 19 aux chrétiens-démocrates pro-américains.
Dix jours plus tard, le 1er mai, des paysans s'étaient rassemblés à Portella della Ginestra, une vallée entre deux villages, pour célébrer leur victoire électorale et la fête du travail. Au moment où le premier orateur prit la parole une fusillade éclata.
Les gens se plaquèrent au sol mais il n'y avait pas de fuite possible. Douze personnes furent tuées, parmi lesquelles quatre enfants. C'était un message de la classe dirigeante disant que le peuple avait peut-être gagné la bataille électorale, mais pas la guerre de classe.
A la suite du massacre la gauche fut intimidée, subi une défaite sévère, même si elle n'était pas entièrement annihilée. Les chrétiens démocrates devaient diriger l'île pendant des décennies, et l'Italie pendant 50 ans, avec le soutien actif de la Mafia.
A sept reprises le premier ministre chrétien démocrate Giulio Andreotti a été profondément impliqué avec la Mafia.
Il fut mis en examen pour avoir organisé le meurtre d'un journaliste. Il fut même déclaré coupable d'avoir rencontré un dirigeant de la Mafia dans son bureau de Rome.
Mais du fait du statut d'immunité qui règne en Italie, cet homme dont il fut prouvé qu'il avait menti vingt-sept fois devant un tribunal, fut relaxé. Le tribunal décida que l'accusation d'implication avec la Mafia était prescrite par le temps écoulé pendant la durée du procès.
Andréotti, dont les Italiens disent qu'il 'sent la Mafia', siège toujours au parlement en tant que sénateur à vie, et a soutenu le gouvernement de centre gauche de Romano Prodi lors de votes décisifs.
   
L'intimidation de l'opposition 
Au début des années 1990, un important mouvement anti-Mafia émergea en Sicile après l'assassinat de deux juges qui enquêtaient sur elle.
Lorsque le président italien et d'autres huiles vinrent de Rome assister aux funérailles de l'un des magistrats, des milliers de personnes entourèrent la cathédrale de Palerme en criant 'la Mafia (ils voulaient dire les politiciens) hors de la cathédrale!' Les plus hauts représentants de l'Etat italien durent être évacués précipitamment.

Ce mouvement n'alla pas assez loin ni assez vite. Il réussit à faire élire un maire de Palerme anti-Mafia qui fut efficace à certains égards mais qui n'était pas préparé à affronter un système de pouvoir.

Aujourd'hui le 'mouvement anti-Mafia' tient souvent des conférences dans des hôtels cinq étoiles et publie des rapports que personne ne lit - même si des campagnes éducatives dans les écoles n'ont pas fait de mal.
Le président de la région sicilienne, Salvatore Cuffaro, a visité Corleone (le village sicilien du film Le parrain) en avril dernier pour inaugurer un nom de rue à la mémoire de la capture, un an plus tôt, du chef de la Mafia Bernardo Provenzano.
Cuffaro a dû éviter le débat anti-Mafia prévu pour l'après-midi, certains magistrats instructeurs devant y intervenir essayant de le poursuivre pour collusion avec la Mafia.
La semaine dernière il a été déclaré coupable d'avoir conclu des accords avec la Mafia et condamné à cinq ans de suspension, condamnation dont il a fait appel.
   
Néolibéralisme

  Un élément nouveau est la campagne organisée par un groupe de jeunes gens pour que les commerçants cessent de payer pour leur protection. A l'heure actuelle 80% d'entre eux sont rackettés.
La Mafia s'est adaptée très vite au monde néolibéral dérégulé. A Puglia, le crime organisé s'est développé pour répondre aux besoins de la guerre civile en Yougoslavie, échangeant des armes contre de la drogue ou transportant des personne hors de la zone des hostilités.
Ceux qui gagnent gros aujourd'hui sont les entrepreneurs de décharges d'ordures et de santé privée. Les employeurs du nord de l'Italie, et d'autres pays, qui veulent se débarrasser d'ordures dangereuses peuvent le faire à très bon marché en payant la Camorra, l'équivalent napolitain de la Mafia, qui les jette n'importe où dans la région entourant la ville.
On assiste à une progression des cancers et autres pathologies du fait que la nappe phréatique et la chaîne alimentaire sont polluées par des dépôts massifs d'ordures dangereuses.
C'est une des raisons des protestations en cours à Naples au sujet des dépôts d'ordures.
En Sicile, la Mafia s'est installée dans le secteur de la santé lorsque l'Etat a vendu celui-ci à des investisseurs privés.

La Villa Santa Teresa a été transformée par la Mafia en une des meilleures cliniques cancérologiques d'Europe.
Michele Aiello, le directeur, était déjà l'homme le plus riche de Sicile en 2000 d'après l'impôt sur le revenu, et en 2001-2002 il a reçu plus de 80 millions d'euros de fonds publics.
Plus de 500 emplois ont été créés dans une zone de chômage chronique, et l'on dit qu'Aiello a fourni des places à des proches de hiérarques policiers.
Cette clinique pourrait être utilisée pour blanchir de l'argent sale, mais c'est un bon investissement comme source régulière de financements publics.
Les politiciens fixent les prix que les opérateurs privés pratiquent - ces mêmes politiciens qui ont des liens avec la Mafia. Des enquêtes ont montré que ces cliniques ont des tarifs de 40 à 45 % plus élevés que la normale.
Aujourd'hui beaucoup des mafiosi de haut rang qui ont été arrêtés sont à la fois des consultants dans les hôpitaux de Palerme et des chefs de gangs de la Mafia. La Mafia se transforme de plus en plus en une entreprise normale.


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques


Pénurie d'eau ou pénurie de tuyaux?

 Dans la presse
Forum mondial de l'eau : des chiffres alarmants
Le Nouvel Observateur avec AFP
Les eaux insalubres restent la première cause de mortalité dans le monde, avec 3,6 millions de victimes par an. 

Il n'y a pas de problème d'eau mais un problème de tuyaux.
Des tuyaux, tout simplement pour acheminer l'eau.
 Un seul exemple, en Afrique, 93 % de l'eau n'est pas utilisé. 

Pourquoi?
Parce que fabriquer et installer des canalisations pour permettre à des paysans africains de se nourrir eux-mêmes, de devenir autonomes, de ne pas s'inscrire dans la mondialisation,  cela ne rapporte pas de profits aux multinationales.
La souveraineté alimentaire est l'adversaire du profit et de la spéculation.


Lire les  propositions de Libérons La Monnaie: 



lundi 12 mars 2012

Impossible, ça coûte trop d'argent !

Impossible, ça coûte trop d'argent...

Combien de fois n'a-t-on pas entendu cette phrase. 

En faisant le constat que l'argent ne coûte rien à sa création, en le prouvant tout simplement par le rappel de la suppression officiel de la parité-or, on démontre que la crise a été artificiellement provoquée pour garantir les profits des plus riches.


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques

vendredi 9 mars 2012

Quand la production des biens est proportionnelle au travail humain...


 La création monétaire doit être équivalente à la quantité des biens de consommation

Quand la production des biens est proportionnelle au travail humain, il est logique que la création monétaire soit alignée sur ces quantités de travail.
Mais quand les biens sont inversement proportionnels au travail humain, et donc produits proportionnellement au travail des machines, il faut changer de paramètre et aligner la création monétaire sur le travail des machines.
Ceci, pour que la quantité d'argent créé reste proportionnelle aux quantités de biens nécessaires aux peuples.



Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques

Qui a écrit cette lettre?



Qui a écrit cette lettre?

Messieurs, un certain M. John Sherman nous a écrit qu'il n'y a jamais eu autant de chance pour les capitalistes d'accumuler de la monnaie que par "un décret promulgué", selon le plan formulé par l'Association Britannique des Banquiers. 

Il donne presque tous pouvoirs à la banque nationale sur les finances de la nation. (...) si ce plan prenait force de loi, il en découlerait de grands profits pour la fraternité des banquiers dans le monde entier.(...) 
M. Sherman dit que les quelques personnes qui comprennent ce système ou bien seront intéressées à ses profits ou bien dépendront tellement de ses faveurs qu'il n'y aura pas d'opposition de la part de cette classe, alors que la grande masse du peuple, intellectuellement incapable de comprendre les formidables avantages que tire le capital du système, portera son fardeau sans complainte et peut-être sans s'imaginer que le système est contraire à ses intérêts. 
Vos serviteurs dévoués.
  


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques


jeudi 8 mars 2012

2008 Tous devant les banques chaque samedi à 17 heures


Appel lancé en septembre 2008



Les taux d’intérêts bancaires, la spéculation sur l’argent, sont les causes premières de la crise mondiale.
TOUS DEVANT LES BANQUES
chaque samedi à 17 heures
Dans chaque ville, choisir une banque dont l’emplacement favorise un rassemblement
A Nantes, place Royale à partir du samedi 27 septembre 2008


Les taux d’intérêt représentent 40%  d’un prix moyen à la consommation
Cela nous oblige à travailler au-delà de nos besoins et nous empêche
de bénéficier pleinement des biens que nous offre le progrès technologique.
L’endettement donne aux banquiers droit de vie ou de mort sur les entreprises, les particuliers et les Etats.
92% de la monnaie est créée quasiment gratuitement sur ordinateur, rien que des chiffres et des lettres….
Privilège accordé par les rois aux banquiers, les intérêts doivent être abolis.

A l’origine de la crise mondiale une formidable contradiction.
D’un côté, un développement technologique qui supprime massivement les emplois
 tout en produisant toujours plus de richesses… et de l’autre,
 l’obligation de travailler pour pouvoir acheter ces mêmes richesses.
C’est absurde puisque les machines effectuent 95% du temps de production des biens et services.
La monnaie actuelle est dépassée, elle doit être créée en fonction du travail des machines.

Les  spéculateurs font leurs profits sur le dos des salariés, 95% de la population active.
Par les quotas limitant les productions et la destruction massive des marchandises invendues…
les spéculateurs créent artificiellement la misère dans l’abondance.
Cet état de nécessité nous force à travailler à n’importe quelles conditions.
La gratuité est l’ennemie des banquiers et des spéculateurs :
elle réduit le temps humain nécessaire à la production et donc les profits provenant de ce temps de travail.

Trois mesures s’imposent pour traiter la crise mondiale à la racine.
1-Interdiction des quotas et destructions concernant les productions utiles aux populations.
2- Allocation d’un revenu universel dissocié de l’emploi et alimenté par une monnaie sans intérêts.
3-Accès gratuit aux procédés de production qui appartiennent au patrimoine de l’humanité.
.
On ne lutte pas contre le chômage en créant des emplois destructeurs d’environnement,
Le temps de travail de chacun sera considérablement réduit puisque la monnaie ne sera créée
qu’en fonction de quantité de productions respectant l’environnement et les droit humains.

Mais où trouver l’argent ? Là où les banquiers le créent chaque jour…dans les banques !!!
Les banquiers créeront la monnaie sur ordinateur comme ils le font déjà, MAIS sans intérêts,
puisque la monnaie est électronique à 92%, La garantie or n’existe plus. C’est normal,
 la réserve totale d’or des Banques Centrales est à moins de 1% du PIB mondial !!!
Mise à part la gestion des dossiers, la création de monnaie informatisée est quasiment gratuite…
 des chiffres et des lettres sur disques durs. Les caisses sont vides, c’est normal, c’est le progrès !!!
                              Libérons La Monnaie  Nantes-Le  Pellerin

PETITION INTERNATIONALE AUX PARLEMENTAIRES
Nous exigeons une loi pour le contrôle public des Banques Centrales
Pour un revenu d’existence dissocié de l’emploi
alimenté par une monnaie de service public, sans intérêts privés, une monnaie d’intérêt général
Nom                     prénom                    qualité                        email

Renvoyer pétition et infos sur les rassemblements à :   vidal.mothes@wanadoo.fr
« Liberons La Monnaie »  5, avenue Louis Vasseur, 44 000  Nantes 


Visitez le blog :  
http://www.liberonslamonnaie.blogspot.com/     



Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques



1789 a été déclenchée par la dette publique


1789 a été directement déclenchée par la dette publique

 Dans un discours prononcé en 1790 Mirabeau déclarait : 
"La dette publique fut le germe de la liberté ; elle a détruit le roi et l’absolutisme, prenons garde qu’en continuant à vivre, elle ne détruise la nation et nous reprenne la liberté qu’elle nous a donnée. »

Jacques Marseille, historien, spécialiste d'histoire économique


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques

mardi 6 mars 2012

Quatre mesures pour traiter la crise mondiale à la racine.

 



Quatre mesures s’imposent pour traiter la crise mondiale à la racine


Quatre mesures s’imposent pour traiter la crise mondiale à la racine.
1-Interdiction des quotas et des destructions concernant les productions utiles aux populations.
2-Que le temps libéré par les machines dans la production de biens matériels
soit systématiquement déversé dans les services qui seront tous d’intérêt général.
3- Un revenu d’existence pour tous, dissocié de la recherche du profit.
Ce revenu sera alimenté par une  monnaie alignée
 sur les quantités de productions de biens de consommation.
4- Libre accès aux inventions et procédés qui appartiennent au patrimoine de l’humanité,
un héritage de savoirs et de savoir-faire dont nous sommes tous les héritiers.

Voir l'article: Une loi pour une banque de service public (dimanche 28 novembre 2010)


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques


Le seul réalisme digne de ce nom, c'est la prise en compte de l'assassinat, chaque jour, de 100 000 personnes qui meurent de faim.



Le seul réalisme digne de ce nom, c'est la prise en compte de l'assassinat, chaque jour, de 100 000 personnes qui meurent de faim, assassinées par les intérêts sur la monnaie

100 000 êtres humains rayés de la surface de la Terre, au milieu d'un océan d'abondance technologique.
Nous, les vivants, sommes d'autant plus concernés que les injustices qui ne font que s'aggraver, partout dans le monde relèvent de la même cause. 
Famine, baisse des salaires, chômage, démantèlement des services services publics sont provoquées par l'obligation, pour faire circuler les marchandises, d'utiliser une monnaie toxique. Une monnaie chargée d'intérêts illégitimes dont l'usage exproprie par endettement. 
Conséquence, élimination accélérée des petits producteurs encore indépendants, licenciement de tous ceux considérés comme non rentables, extension des poches de misère au Nord, et au Sud, bidonvillisation des populations, dernière étape avant "l'auto-déportation" vers les camps de la mort lente, par famine artificiellement provoquée.
Famine provoquée au nom de la croissance des profits d'une poignée de millionnaires et milliardaires.
Sans la taxe bancaire, sans ces intérêts qui engendrent la dette-racket, plus de spéculation, plus de marchés financiers, la voie s'ouvrirait enfin vers la construction d'un monde de producteurs librement associés.
                                                            


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques

vendredi 2 mars 2012

S'engager à rembourser la dette, c'est accepter le racket bancaire




 S'engager à rembourser la dette, 
 c'est accepter le racket bancaire

Ceux qui considèrent que la dette doit être remboursée, quelque soit le mode de remboursement, légitiment le racket légalisé organisé par les banquiers et les financiers.
Un racket qui sévit depuis l'Ancien Régime et qui continue aujourd'hui avec l'aval des deux grands partis politiques qui, alternativement, se succèdent au gouvernent.
Une seule solution, une loi qui abolit la taxe sur l'argent (intérêts bancaires).
Personne ne devrait tolérer que l'on puisse transformer du gratuit en payant.
Les taux d'intérêts imposés par les banquiers sur un monnaie gratuite à sa création, relèvent d'une escroquerie généralisée, cause première de la misère du monde.
Telle une réaction nucléaire, la taxe bancaire provoque en cascade, une réaction monétaire qui appauvrit et exclut partout dans le monde.


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques

jeudi 1 mars 2012

Sans les salariés, un patron n'est rien

Sans les salariés, un patron n'est rien,

sans le patron, les salariés sont tout.


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques

De l'austérité à la prospérité pour tous


De l'austérité pour presque tous  
à
la prospérité pour tous


Dès demain c'est possible 

avec une une monnaie détaxée
une monnaie non toxique
 une monnaie propre


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques