lundi 13 février 2012

Dans les écoles grecques, les enfants s'évanouissent



"Dans les écoles grecques, les enfants tombent à même le sol, trop faibles car mal soignés, d’autres s’évanouissent car ils n’ont plus eu une seule tranche de pain depuis 3 à 4 jours."
 David Kyriakidis

En Grèce comme ailleurs, 
il  faut choisir,
 le droit au profit ou le droit à la vie

    Avec de l'argent non taxé par les banquiers, les Grecs pourraient  produire le nécessaire, le beau, l'utile et l'agréable dans le respect des êtres humains et de l'environnement.
     Avec de l'argent non taxé par les banquiers, le progrès technologique ne serait plus  au service du profit d'une minorité mais au service de la prospérité pour tous.
Le temps libéré par les machines et l'ordinateur, pour la production des biens matériels, serait  déversé dans le secteur des services, dans les loisirs, dans le développement du corps et de l'esprit, dans les activités citoyennes, dans l'organisation de la Cité.

       Plus de jets privés pour les 1% les plus riches, mais un niveau de vie  jamais égalé pour tous.
Plus de piscines remplies de champagne pour séduire l'actrice de l'année, plus de suites réservées dans les palaces pour les 1% les plus riches...mais des enfants qui ne tombent plus d'inanition dans les classes, des enfants bien nourris avec des parents bien traités car décidant démocratiquement de l'utilisation de ce patrimoine fabuleux, de cet héritage immatériel de savoirs et de savoir-faire,  transmis par nos ancêtres depuis l'aube de l'humanité.

    Un savoir impropre à l'échange, car inappropriable parce que se transmettant sans dépossession aucune. On donne un pain au chocolat, mais on en transmet la recette. Non seulement on ne perd pas une invention qu'on transmet, mais on l'enrichit en la faisant circuler, contrairement à un objet matériel qui s'abime dans l'usage.

     En Grèce comme ailleurs, la création monétaire électronique est un savoir-faire, un bien commun que les riches nous ont confisqués avec la complicité des politiciens. Des politiciens qui, comme dans l'Ancien Régime, jouent le jeu des banquiers pour rester dans leur fauteuil.
       Aujourd'hui, sans les médias qui appartiennent aux 1% les plus riches, un politicien n'est ni vu, ni vu, ni connu ...ni élu! 

    La taxe sur la création monétaire (les intérêts qui génèrent une dette qui n'est que racket) est la mère de tous les états de nécessité qui déclenchent des taxes en cascades, tva, impôts direct...autant de prélèvements pour que l'Etat rembourse la dette-racket aux banquiers et financiers, autant de prélèvements pour organiser la société dans le seul but d'enrichir les "déjà plus riches".  

 Voir:  
"Je me sentirai américain quand les Américains se sentiront somaliens" 
à l'aide du  lien,      http://alain-vidal.blogspot.com/       


Lire les propositions de Libérons La Monnaie


 loi pour le contrôle des banques



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