Mille
ans d’alliance
entre
les banquiers,
la monarchie...
et la république
Dès le moyen-âge, en échange du
financement d’une armée puissante pour dominer les seigneurs en mal de
couronne, les monarques accordent à des banquiers le monopole de la création
monétaire avec intérêts, c’est à dire le privilège de s’enrichir sur le dos du
peuple.
Les petits producteurs indépendants,
paysans, artisans, endettés...expropriés, ainsi réduits à l'état de
nécessité par les banquiers, n'avaient plus que la "liberté" de
choisir entre les galères du roi ou bien le travail au profit d'un atelier
possédé par un bourgeois.
A partir d’une banque qui monopolise
les moyens d’échange, la bourgeoisie se construit par la monopolisation des
moyens de productions et de communication.
Est-ce un hasard si, pendant trois
siècles, de Louis XI jusqu’à Louis XV, les monarques ne se sont entourés que de
ministres bourgeois? Les chroniqueurs qualifiaient Louis XI de « roi
bourgeois » et Saint-Simon parlait du règne de Louis XIV comme « d’un
règne de vile bourgeoisie ».
La République a continué de maintenir
ce privilège bancaire qui, avec la révolution industrielle, réduit inexorablement la population au salariat, ou au chômage, pour non rentabilité, de par le remplacement des hommes par les
machines.
Lire les propositions de Libérons La Monnaie
loi pour le contrôle des banques
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