Voltaire,
les Juifs sont ennemis du genre humain
par Alain Vidal
Voltaire, dans l’article «Tolérance» du Dictionnaire philosophique :
"C’est à regret que je
parle des Juifs : cette nation est, à bien des égards, la plus
détestable qui ait jamais souillé la terre."
Léon
Poliakoff, historien du génocide, va jusqu'à attribuer à Voltaire
et plus généralement aux Lumières, l'origine de l'antisémitisme
nazi, il écrit :
"Aux
temps de la domination hitlérienne en Europe, un agrégé
d’histoire, Henri Labroue, n’eut pas de peine à composer un
livre de deux cent cinquante pages à l’aide des écrits antijuifs
de Voltaire."
Depuis
1789, les éditeurs, généralement, censurent les pages qui montrent le Voltaire antisémite, même la bibliothèque nationale française publie,
sur Internet, une version expurgée de l'Essai sur les mœurs
(site bnf.gallica.fr).
Les citations qui suivent sont
extraites de l'édition de 1805, Imprimerie Didot, l'orthographe et
la ponctuation d’origine ont été respectées.
"Toujours
superstitieuse, toujours avide du bien d'autrui, toujours barbare,
rampante dans le malheur, et insolente dans la prospérité, voilà
ce que furent les Juifs aux yeux des Grecs et des Romains qui purent
lire leurs livres." (Tome 1, page 186)
"
N'est-il pas clair (humainement parlant, en ne considérant que
les causes secondes) que si les Juifs, qui espéraient la conquête
du monde, ont été presque toujours asservis, ce fut leur faute."
(Tome 1, page 226).
« On ne voit au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l'hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d'exercer l'usure avec les étrangers ; et cet esprit d'usure, principe de toute lâcheté, est tellement enraciné dans leurs cœurs, que c'est l'objet continuel des figures qu'ils emploient dans l'espèce d'éloquence qui leur est propre.
(Tome 1, page 226).
« On ne voit au contraire, dans toutes les annales du peuple hébreu, aucune action généreuse. Ils ne connaissent ni l'hospitalité, ni la libéralité, ni la clémence. Leur souverain bonheur est d'exercer l'usure avec les étrangers ; et cet esprit d'usure, principe de toute lâcheté, est tellement enraciné dans leurs cœurs, que c'est l'objet continuel des figures qu'ils emploient dans l'espèce d'éloquence qui leur est propre.
...Leur
gloire est de mettre à feu et à sang les petits villages dont ils
peuvent s'emparer. Ils égorgent les vieillards et les enfants ; ils
ne réservent que les filles nubiles ; ils assassinent leurs maîtres
quand ils sont esclaves ; ils ne savent jamais pardonner quand ils
sont vainqueurs : ils sont ennemis du genre humain.
...Nulle
politesse, nulle science, nul art perfectionné dans aucun temps,
chez cette nation atroce."
(Tome 2, page 83)
"Lorsque, vers la fin du quinzième siècle, on voulut rechercher la source de la misère espagnole, on trouva que les Juifs avaient attiré à eux tout l'argent du pays par le commerce et par l'usure.(…) Les Juifs seuls sont en horreur à tous les peuples chez lesquels ils sont admis (...)."
(Tome 2, page 83)
"Lorsque, vers la fin du quinzième siècle, on voulut rechercher la source de la misère espagnole, on trouva que les Juifs avaient attiré à eux tout l'argent du pays par le commerce et par l'usure.(…) Les Juifs seuls sont en horreur à tous les peuples chez lesquels ils sont admis (...)."
Ils
ont même été sur le point d'obtenir le droit de bourgeoisie en
Angleterre vers l'an 1750 et l'acte du parlement allait déjà passer
en leur faveur. Mais enfin le cri de la nation, et l'excès du
ridicule jeté sur cette entreprise la fit échouer."
"On regardait les Juifs du même œil que nous voyons les Nègres, comme une espèce d’homme inférieure”. "
"On regardait les Juifs du même œil que nous voyons les Nègres, comme une espèce d’homme inférieure”. "
(Tome5,
page 82-83).
Dans
son dictionnaire philosophique qualifié de portable,
que Voltaire conseille à tout honnête homme,
sur 118 articles, une trentaine stigmatise les Juifs
que Voltaire conseille à tout honnête homme,
sur 118 articles, une trentaine stigmatise les Juifs
“Nos
maîtres et nos ennemis, que nous croyons et que nous détestons”
(art. “Abraham”),
“le
plus abominable peuple de la terre” (art. “Anthropophage”)
L’’article
“Juif” est le plus long du Dictionnaire (30 pages), sa première
partie se termine ainsi :
“Vous
ne trouverez en eux qu’un peuple ignorant et barbare, qui joint
depuis longtemps la plus sordide avarice à la plus détestable
superstition et à la plus invincible haine pour tous les peuples qui
les tolèrent et qui les enrichissent…Il ne faut pourtant pas les
brûler.”
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