"Dans
les écoles grecques, les enfants tombent à même le sol, trop faibles car mal
soignés, d’autres s’évanouissent car ils n’ont plus eu une seule tranche de
pain depuis 3 à 4 jours."
David Kyriakidis
En
Grèce comme ailleurs,
il
faut choisir,
le
droit au profit ou le droit à la vie
Avec de l'argent non
taxé par les banquiers, les Grecs pourraient produire le nécessaire, le
beau, l'utile et l'agréable dans le respect des êtres humains et de
l'environnement.
Avec de l'argent
non taxé par les banquiers, le progrès technologique ne serait plus au
service du profit d'une minorité mais au service de la prospérité pour tous.
Le temps libéré par les machines et
l'ordinateur, pour la production des biens matériels, serait déversé dans
le secteur des services, dans les loisirs, dans le développement du corps et de
l'esprit, dans les activités citoyennes, dans l'organisation de la Cité.
Plus de jets privés pour les 1% les plus riches, mais un
niveau de vie jamais égalé pour tous.
Plus
de piscines remplies de champagne pour séduire l'actrice de l'année, plus de
suites réservées dans les palaces pour les 1% les plus riches...mais des
enfants qui ne tombent plus d'inanition dans les classes, des enfants bien
nourris avec des parents bien traités car décidant démocratiquement de
l'utilisation de ce patrimoine fabuleux, de cet héritage immatériel de savoirs
et de savoir-faire, transmis par nos ancêtres depuis l'aube de
l'humanité.
Un savoir impropre à
l'échange, car inappropriable parce que se transmettant sans dépossession
aucune. On donne un pain au chocolat, mais on en transmet la recette. Non
seulement on ne perd pas une invention qu'on transmet, mais on l'enrichit en la
faisant circuler, contrairement à un objet matériel qui s'abime dans l'usage.
En Grèce comme ailleurs, la création monétaire électronique est un
savoir-faire, un bien commun que les riches nous ont confisqués avec la
complicité des politiciens. Des politiciens qui, comme dans l'Ancien Régime,
jouent le jeu des banquiers pour rester dans leur fauteuil.
Aujourd'hui, sans les médias qui appartiennent aux 1% les plus riches, un politicien n'est ni vu, ni vu, ni
connu ...ni élu!
La taxe sur la
création monétaire (les intérêts qui génèrent une dette qui n'est que racket)
est la mère de tous les états de nécessité qui déclenchent des taxes en
cascades, tva, impôts direct...autant de prélèvements pour que l'Etat rembourse
la dette-racket aux banquiers et financiers, autant de prélèvements pour
organiser la société dans le seul but d'enrichir les "déjà plus
riches".
Voir:
"Je me sentirai américain quand les Américains se sentiront somaliens"
à l'aide du lien, http://alain-vidal.blogspot.com/
"Je me sentirai américain quand les Américains se sentiront somaliens"
à l'aide du lien, http://alain-vidal.blogspot.com/
Lire les propositions de Libérons La Monnaie
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